Dispositif Décibels

La séléction Décibels au Friend'stival

Le dispositif, porté par la Ville de Pontoise et l’association Benj & Friends, a vocation à aider le développement de projets musicaux d’artistes solo ou de groupes en leur apportant des séances de travail encadrées par des professionnels, selon les besoins identifiés.

Ainsi, un coaching vocal, technique et scénique peut se conjuguer à un travail sur la composition et les arrangements, à des répétitions accompagnées, à des ateliers de communication.

Au total, chaque groupe bénéficie d’une quarantaine d’heures avec les intervenants.

Cerise sur le gâteau, des heures de répétition dans les studios du Caméléon sont réservées aux groupes suivis par le dispositif.

Par ailleurs, plusieurs concerts sont proposés aux groupes. Soit au sein de la programmation culturelle pontoisienne, soit en lien avec l’association Benj & Friends, ou encore auprès de partenaires.

RIVIERE est l’expression poétique et musicale de son auteur-compositeur-interprète, Josselin.

Issu de la culture rock DIY, il fait ses armes depuis plus de 20 ans dans des formations aussi bien metal, pop, que punk californien. Malgré tout, ses musiques ont toujours été mélodiques et c’est au début des années 2000 avec son ex-projet Caravel, qu’il trouve sa voie et son style dans un rock progressif qu’il envisage à sa manière, dépouillé de soli pompeux et de démonstrations techniques.

Au milieu de l’année 2017, RIVIERE nait et c’est avec ce nouveau projet artistique, qu’il affirme davantage son ambition musicale ; se concentrer sur l’évocation visuelle que l’alliance des textes et de la musique peut générer. Il s’entoure de musiciens professionnels pour construire un univers mélancolique et atmosphérique, sans pour autant délaisser son coté rock et engagé.
Il réalise seul l’album « Sous le pont où RIVIERE braille », qui sort en autoproduction le 5 décembre 2017. Cet opus ayant déjà été annoncé par un premier 2 titres « Sortis du placard pour les mettre dans le grenier » sorti à l’été 2015.

Une petite Fringale ? Dans une bonne dose de rock festif, ajouter quelques gouttes de punk irlandais, et une pincée de chanson française. Assaisonnez généreusement avec une poésie pétillante, parfois piquante. Servez sur scène pour plus de saveur !
En décembre 2014, la recette de Fringale est élaborée pour la première fois à Argenteuil. Une recette simple, efficace :
>> Pour la base, pétrissez la pâte du rock festif francophone, teinté de folk, de punk acoustique, de ska… Inspirez-vous outre Atlantique des Cowboys Fringants, ou bien en France des Fatals Picards.
>> Disposez pour la garniture de larges tranches de punk-rock celtique moderne. Une saveur qu’on trouve chez Fiddler’s Green ou Paddy and the Rats.
>> Assaisonnez à l’envi : petites incursions de chanson française, mélodies douces ou virevoltantes, poésie pétillante avec une pointe d’acidité.
Servie en live depuis mai 2015, la formule s’enrichit de nouvelles saveurs, au fil des rencontres du public et des musiciens qui croisent la route de Fringale. À la cuisson sous les projecteurs, une énergie sautillante vient pimenter la recette, et devient un ingrédient indispensable des concerts de Fringale.
Cette formule a été testée et approuvée, notamment au Festival Plouckstock (2015, 2016 en première partie de Lénine Renaud), à la fête de l’Humanité (septembre 2016), dans un Forum de Vauréal complet en première partie des Fatals Picards (25 février 2017), ou encore au Arthur’s Day Festival en première partie de Celkilt (21 septembre 2018).
En novembre 2017, l’équipe de Fringale revisite la recette avec cinq musiciens qui apportent leurs touches personnelles à la formule existante : petites incursion funk, riff incisif, breakdowns de passage ou pointe de reggae viennent relever le goût sans couvrir les saveurs de la recette originale !

Née en 1992, Clara Malaterre commence l’apprentissage de la guitare à 11 ans. Elle bricole alors des chansons en accordant déjà sa guitare « au plaisir ». La batterie arrive plus tard à l’adolescence, elle apprend en regardant le batteur de son premier groupe de rock. C’est par le jazz et les musiques improvisées que l’envie de faire de la musique se renforce, grâce à des musicien.nes comme Jean-Luc Cappozzo, Simon Goubert ou Virginie Capizzi et Stéphane Audard lorsqu’elle entre en 2016 au conservatoire du XIème arrondissement à Paris. Par ailleurs, l’appui essentiel de la chanteuse et compositrice Anissa Bensalah lui permet d’aller à la rencontre de sa voix/e. Parallèlement à ses études de philosophie et de sociologie du genre, Clara s’engage dans différents projets musicaux au gré des saisons. Durant l’été 2016, elle enregistre aux chœurs & à la batterie le premier album du groupe parisien de rock progressif Garam.

De l’automne 2016 jusqu’au printemps 2017, elle se lance dans la composition et l’enregistrement de son premier EP solo Portraits avec le concours de son bras droit le musicien & ingénieur du son Arthur de Barochez. En parallèle, elle accompagne d’autres musicien.nes, pour des concerts qui la conduisent jusqu’au Sziget Festival à Budapest. Elle fête en janvier 2018 la sortie de Portraits et joue dans différents endroits à Paris, des cafés-concerts à des lieux pour des personnes en fragilité psychique. Durant l’été, elle part en tournée ce qui la mène à jouer devant 500 personnes en Vendée, dans des cafés-concerts à Nantes, Figeac ou encore dans le château de Cadrieu (46). Elle travaille actuellement à la création de son deuxième EP (6 titres) intitulé Points cardinaux.

♦ Sur scène, accompagnée par ses fidèles guitares Baby, & Finette, elle propose un répertoire éclectique ponctué d’improvisations. Comment faire se rencontrer chanson française, blues & standards revisités? Clara répond à cette question à sa manière : parfois a capella, souvent par des envolées vocales et toujours avec une légère gravité.